jeudi 29 janvier 2009

l'égo de Ségo

Depuis 2007, pas la moindre remise en cause, Ségo continue de péter les plombs. "Moi, je suis très claire. S'il y en a un de meilleur que moi, qu'il y aille, je ferai même sa campagne en 2012. Mais pardon, pour le moment, je ne vois pas." Appelez-moi Dieu... Et après c'est l'agité du bocal bis (pardon: le président de la République) qui fait de la provocation permanente comme "celle d'un adolescent qui voudrait épater la terre entière." Enfin, on était habitué à ses chevilles larges comme une patte d'éléphant.
Elle n'a même pas abandonné son attitude de jeune fille à sa maman toute frustrée parce qu'elle a pas eu son tour de manège: "Quand il m'a reçue à l'Elysée, peu après la défaite ["ma" ne sort pas de sa bouche], pour parler de l'Europe, je l'ai trouvée assez médiocre dans le comportement. Il n'y avait pas de hauteur, d'allure, d'élan, de fair-play. Il aurait pu dire "félicitations, nous avons bien combattu, vous portez dix-sept millions de voix". Non, rien, il était là, les bras ballants, à m'offrir des chocolats, à essayer de me faire parler de ma séparation d'avec François Hollande, à dauber [?!] sur les journalistes, à exhiber sa montre [...]. Un petit gamin heureux d'être au milieu de ses nouveaux jouets". Curieux, je l'imaginais exactement comme cela... Mais que ce jugement sorte de l'esprit de Ségodiche, là, cela frise le ridicule... ELLE voulait être au milieu de ses nouveaux jouets...

Aucun commentaire: